Le topic des autres genres

https://youtu.be/Vl-GJaitlNs

J'adore.
Au premier degré.
Pour de vrai.

Ouais je sais : dur à assumer.

PN c'est pour Peste Noire, mais L... 

Ca commence comme ça et puis ça finit en LGBTQI+

D'ailleurs, c'est quoi ce titre qui parle des autres genres ?
Tout le monde sait qu'il n'y a que 2 genres.

Spoiler:

Droom a écrit:https://youtu.be/Vl-GJaitlNs

J'adore.
Au premier degré.
Pour de vrai.

Ouais je sais : dur à assumer.

Moi je trouve qu'on est à la limite de la parodie : les pleurnicheries, les paroles au ras des pâquerettes, les frangins poseurs. Et j'étais l'un des rares à les défendre !
D'autant plus rude que j'écoute depuis vendredi le 3ème album de Damso, Lithopedion, et qu'on est un cran au dessus dans tous les domaines :

Sauf que le feeling n'est pas du tout le même, hélas. Mais c'est pas mal non plus hein. On dirait du Nine Inch Nails mixé avec du Booba mixé avec du zouk, c'est intéressant.

Il a été découvert par Booba en fait, qui a lancé sa carrière (il en parle dans Dix Leurres justement, la vidéo qui a sauté)

Droom a écrit:On dirait du Nine Inch Nails mixé avec du Booba mixé avec du zouk

Kamoulox ?

Parce que , parce que



et aussi parce que



Bah parce que



et surtout parce que



c'est super cool les parce que avec plein de trucs et de machins dedans

Ça sent la prise de substances.

Beaucoup beaucoup de drogues et aussi beaucoup de

Ben le dernier album de CHVRCHES c'est vraiment pas ça. C'est binaire, très loin des sommets des 2 premiers, et je ne peux m'empêcher de penser à Getaway dans Arrested Development quand j'entends Get Out




Par contre Kimbra continue à faire évoluer sa musique sur son troisième album, elle ne tourne pas en rond :

yann & sloopy a écrit: Beaucoup beaucoup de drogues et aussi beaucoup de

Trish...

[quote="samizo kouhei"]Ben le dernier album de CHVRCHES c'est vraiment pas ça. C'est binaire, très loin des sommets des 2 premiers, et je ne peux m'empêcher de penser à Getaway dans Arrested Development quand j'entends Get Out

Tiens moi je l'aime assez ce nouveau Chvrches. C'est pas grandiose, et c'est en effet de moindre qualité que les deux précédents, mais ça reste honteusement catchy. Mais un peu trop long, moins inspiré, c'est vrai... et quel intérêt de se payer Matt Berninger de The National si c'est pour qu'il chantonne un pauvre couplet et demi avec sa voix bourrée d'effets et à peine reconnaissable ?

CHVRCHES vient de balancer un nouveau morceau, une collaboration avec une artiste japonaise et je suis bien plus convaincu :

Nouveau titre de PNL sur les plateformes de streaming. Bien mieux que leur précédent nouveau titre très ouin ouin

Kyary PP revient, et pas seulement pour de nouveaux selfies-perruque sur FB :

"Kyary Pamyu Pamyu sortira son nouvel album “Japanyu” le 26 septembre.

Le prochain album comprendra 10 nouvelles chansons dont les singles “Sai & Kou“, “Harajuku Iyahoi” et “Kimi no Mikata“, ainsi qu’une reprise de la chanson “Koi no Hana” de CAPSULE (sortie en 2001). Pour le design de la veste, Kyary a fait équipe avec Shindo Mitsuo pour la première fois, où il a essayé de montrer la chanteuse d’une nouvelle manière. En plus d’un livre photo, l’édition limitée sera accompagnée d’un DVD contenant des images de sa tournée «KPP JAPAN IYAHOI TOUR 2017».




https://www.c-k-jpopnews.fr/2018/08/20/kyary-pamyu-pamyu-plus-de-details-sur-son-nouvel-album/

Si l'album est du même niveau que le précédent, ça va déchirer.

Tu connais le groupe Perfume ?
C'est le même mec qui écrit leurs chansons et celle de Kyary, ça pourrait peut-être de plaire.
Moi je fais le chemin inverse, j'écoute Perfume depuis quelques années, et là je me décide enfin à découvrir Kyary.

Perfume (merci à Fly pour cette autre découverte), j'aime bien quelques titres, mais ça marche moins bien qu'avec Kyary PP chez moi. Et pourtant, c'est quasiment la même recette, avec un son un peu plus synthétique (au passage, il est gonflé, Nakata, en faisant reprendre par une de "ses" artistes une chanson qu'il avait composée pour un autre groupe ).

25 ans de perdu. 25 années que j'aurais pu écouter The Turn of a friendly Card (1980) de The Alan Parsons Project, un groupe parfois classé prog au prétexte d'arrangements soignés et d'une démarche "conceptuelle" mais dont le duo qui le compose sait surtout faire d'excellentes chansons, et des instrus de même niveau ("I Robot" ). J'écoute certains de ses albums depuis longtemps et toujours avec autant de plaisir (grand, le plaisir) : Eye in the Sky (1982), bien sûr, dont tous les quadras connaissent la chanson-titre, Pyramid (1978), dans la même veine mais sans les morceaux symphoniques, Ammonia Avenue (1984) - un quasi-décalque - et Vulture Culture, plus synthétique, sorti la même année. Mais j'étais passé complètement à côté de The Turn of a friendly Card (1980), pourtant enregistré pendant la période dorée du "projet", lorsque Parsons et Woolfson, ces deux hippies pileux confortablement installés dans leur home-studio blindés de synthés et de consoles de mixage, faisaient la nique aux punks et aux jeunes loqueteux qui rugissaient au creux des diverses "nouvelles vagues". La faute au magazine Rockstyle qui m'avait pourtant fait découvrir la formation, mais en dédaignant cet album probablement trop disco pour ces zélateurs de la cause prog. Et puis il y a ce titre, "Time", ballade trop longue qui casse l'ambiance de l'album Live sorti en 1994 alors qu'il s'agit du seul extrait de The Turn of a friendly Card. Autant dire que je n'avais aucune raison de m'y intéresser. Et puis The Night Flight Orchestra a débarqué, s'inspirant à partir de Skyline Whispers de The Alan Parsons Project - entre (nombreux) autres. Or, quand Speed Strid cite un album du groupe ce n'est pas un de ceux que j'écoute habituellement mais, donc, The Turn of a friendly Card. Dont le Suédois dit qu'il "possède un feeling vraiment sympa". Bon, aurais-je raté quelque chose ? Oh que oui ! Varié, sensible, chaloupé, intense, un peu inquiétant aussi parfois, ce recueil constitue une grande réussite, rempli de titres tout aussi magnifiques les uns que les autres (à part ce satané "Time", rien à faire). Les chanteurs y sont excellents - et pourtant, le plus bouleversant d'entre eux, Colin Blunstone, n'est pas de la partie pour cette fois. Depuis, je rattrape le temps perdu et j'écoute l'album comme si je le connaissais, lui aussi, depuis 25 ans. Avec le même enthousiasme que ses grands frères. Merci merci, TNFO !  

Je fais comme toi, j'utilise les interviews du Night Flight Orchestra comme des sources de groupes à écouter.

merci foule fête a écrit:25 ans de perdu. 25 années que j'aurais pu écouter The Turn of a friendly Card (1980) de The Alan Parsons Project, un groupe parfois classé prog au prétexte d'arrangements soignés et d'une démarche "conceptuelle" mais dont le duo qui le compose sait surtout faire d'excellentes chansons, et des instrus de même niveau ("I Robot" ). J'écoute certains de ses albums depuis longtemps et toujours avec autant de plaisir (grand, le plaisir) : Eye in the Sky (1982), bien sûr, dont tous les quadras connaissent la chanson-titre, Pyramid (1978), dans la même veine mais sans les morceaux symphoniques, Ammonia Avenue (1984) - un quasi-décalque - et Vulture Culture, plus synthétique, sorti la même année. Mais j'étais passé complètement à côté de The Turn of a friendly Card (1980), pourtant enregistré pendant la période dorée du "projet", lorsque Parsons et Woolfson, ces deux hippies pileux confortablement installés dans leur home-studio blindés de synthés et de consoles de mixage, faisaient la nique aux punks et aux jeunes loqueteux qui rugissaient au creux des diverses "nouvelles vagues". La faute au magazine Rockstyle qui m'avait pourtant fait découvrir la formation, mais en dédaignant cet album probablement trop disco pour ces zélateurs de la cause prog. Et puis il y a ce titre, "Time", ballade trop longue qui casse l'ambiance de l'album Live sorti en 1994 alors qu'il s'agit du seul extrait de The Turn of a friendly Card. Autant dire que je n'avais aucune raison de m'y intéresser. Et puis The Night Flight Orchestra a débarqué, s'inspirant à partir de Skyline Whispers de The Alan Parsons Project - entre (nombreux) autres. Or, quand Speed Strid cite un album du groupe ce n'est pas un de ceux que j'écoute habituellement mais, donc, The Turn of a friendly Card. Dont le Suédois dit qu'il "possède un feeling vraiment sympa". Bon, aurais-je raté quelque chose ? Oh que oui ! Varié, sensible, chaloupé, intense, un peu inquiétant aussi parfois, ce recueil constitue une grande réussite, rempli de titres tout aussi magnifiques les uns que les autres (à part ce satané "Time", rien à faire). Les chanteurs y sont excellents - et pourtant, le plus bouleversant d'entre eux, Colin Blunstone, n'est pas de la partie pour cette fois. Depuis, je rattrape le temps perdu et j'écoute l'album comme si je le connaissais, lui aussi, depuis 25 ans. Avec le même enthousiasme que ces grands frères. Merci merci, TNFO !  

+1

Marrant, j'avais eu la même réaction que toi en lisant l'interview de Strid en me disant que merde, il cite le seul album de l'âge d'or d'APP que je n'ai pas écouté ! Bon depuis, je n'ai toujours pas pris le temps de l'écouter (alors que je me suis refait Pyramid entre temps)...

Pffff je me replonge dans la disco du bonhomme après celle de Lanegan, j'ai envie d'une clope au réveil et de picoler du whisky frelaté dans un bouge miteux où grouillent les cafards! Il est dingo ce Waits!  

J'ai enfin écouté l'album de Cardhouse - City Blur.



Je l'ai commandé dans la foulée d'ailleurs.

Pour ceux qui ne suivent pas, il s'agit de l'album solo de Daniel Cardoso, batteur et claviériste d'Anathema. Il est également compositeur (l'album Everything is changing d'Anneke c'est lui) et producteur (Angelus Apatrida entre autres).

Donc l'an dernier il a sorti le single Ink. Le titre est énorme, j'adore. Une sorte de pop/electro très mélodique, proche de Crosses (un peu) sur laquelle il joue tous les instruments et la voix. Même le clip est sympa.

J'attends avec impatience la sortie de l'album fixée à mars 2018.

Je l'ai écouté hier, et j'ai pris mon pied. Cet album est taillé pour moi. C'est super bien fait, avec des refrains accrocheurs (Extra Mile en est le parfait exemple), des sons electro mais pas trop, c'est épuré tout en restant très mélodique. Et en plus, le bonhomme chante très bien. Sa voix est souvent passée par des effets, des filtres, mais sans en faire trop, sans exagérer.

Probablement dans mon top de l'année.

Ouh, ça m'intéresse, ça !

J'ai donc écouté ce Cardhouse, j'ai pas trouvé ça terrible :/